La ronde des Quartiers d’été s’achève cette semaine, après 16 après-midi d’animations, représentant une cinquantaine d’heures avec nos partenaires des Maisons de Quartier municipales Mandela et Coubertin, l’EVS de Saint-Claude, ainsi que le Club Sauvegarde.
Pour jouer aux échecs, point n’est besoin, ou si peu, de matériaux. Il suffit de seize cailloux blancs, seize noirs, une feuille de papier ou tout simplement soixante-quatre cases tracées sur le sol…
Alors, personne ne veut jouer aux échecs avec moi ?
Pendant l’été, L’Échiquier bisontin passe en mode vacances. Cependant, vous ne manquerez pas d’occasions pour jouer aux échecs durant cette période estivale. Pas moins de quatre-vingt six heures d’animation en plein air tout au long de l’été !
Aron Nimzowitsch (1886–1935) est l’un des grands révolutionnaires de l’histoire des échecs. D’origine lettone, il a été un joueur d’élite dans les années 1920, rivalisant avec les plus grands — Capablanca, Alekhine, Tartakover — mais c’est surtout en tant que théoricien qu’il a profondément marqué le jeu.
Les Échecs (ou chatarunga) firent leur apparition en Europe aux alentours de l’an mille, rapportés de Perse par les seigneurs arabes d’Espagne et sans doute également par les Croisés à leur retour d’Orient.
Il y a du hasard aux échecs et à tous les autres jeux de l’esprit et pourquoi n’y en aurait-il pas ? L’idée sublime qui se présente où était-elle l’instant précédent ?
Ce quiz vous propose de plonger dans l’univers intemporel des échecs, au-delà des stratégies et des tactiques, pour en découvrir la dimension culturelle et symbolique.
Ce numéro spécial de février 1998 proposait aux lecteurs une série de jeux de société à découper ou à utiliser directement dans le magazine. Les personnages Disney sont représentés dans un univers inspiré du jeu d’échecs et du Moyen Âge, avec rois, reines, chevaliers et un bouffon.
Nous organisons un stage débutant à l’Espace de Vie Sociale (EVS) de Saint-Claude, Centre municipal Simone de Beauvoir, les les 18, 19 et 22 août de 10 à 12 h.
Retour de notre ronde des quartiers à Mandela, où nous rencontrons Shamil, Planoisien d’origine afghane et excellent joueur, qui nous dame le pion de belle manière.
« Seul un grand joueur sait à quel point il joue faiblement. » Xavier Tartacover
A l’heure où Garry Kasparov est au cœur des mouvements anti-Poutine en Russie, il nous offre une réflexion profonde et riche en exemples sur les liens qui unissent le jeu d’échecs et les règles de la vie. De l’importance de la stratégie et du travail, des dangers de se sentir trop sûr de soi ou de l’improvisation…
Qui, de ces trois célébrités, n’est pas connu comme joueur d’échecs : John Wayne ? Fidel Castro ? Charles de Gaulle ?
Les archéologues de l’Institut norvégien de recherche sur le patrimoine culturel ont trouvé une petite pièce d’échecs médiévale (un cavalier) richement décorée, lors d’une fouille à Tønsberg.
Avec Tocadilly, Rochas signe en 1997 une campagne publicitaire, très pop, détournant l’échiquier — symbole de stratégie et de pouvoir — pour en faire un terrain de jeu féminin.
Sous la plume d’Aron Nimzowitsch, pièces et pions s’animent, l’échiquier prend du relief. Et, petit à petit, se dessinent les contours de la stratégie échiquéenne, la logique intrinsèque du jeu. Le tome I dévoile les éléments que l’on doit apprendre à reconnaître pour s’orienter sur l’échiquier.
Mon système est sans doute le plus célèbre de tous les manuels d’échecs. On a dit de ce livre que des amateurs il faisait des maîtres, et que des maîtres il faisait des grands maîtres.
Un pseudo-sacrifice est une combinaison dans laquelle une pièce est provisoirement offerte, mais le matériel ainsi concédé est récupéré quelques coups plus tard de manière forcée.
Bruce Pandolfini est l’un des entraîneurs d’échecs les plus célèbres des États-Unis. C’est dans ces colonnes instructives de « The ABC’s of Chess » dans le prestigieux magazine Chess Life, qu’il publie ses 64 Commandements du Jeu d’Échecs : des conseils concis et percutants, conçus pour guider les joueurs dans leur réflexion échiquéenne.
