C’est toujours le bon moment…
… pour une petite partie d’échecs !
… pour une petite partie d’échecs !
De l’Inde vers la Perse, puis du monde islamique vers l’Occident chrétien, les pérégrinations du jeu d’Échecs s’étendent sur près de cinq cents ans.
… pour une petite partie d’échecs !
Un passionné de notre jeu apprend à jouer aux Échecs à son chien. On lui demande : « Est-ce qu’il joue bien… »
… que sur toutes les mers du monde. Pierre Mac Orland
« Comment voulez-vous qu’une fille normale ait envie de sortir avec un type qui réfléchit pendant plus de deux heures avant d’ébaucher le plus petit geste du bout des doigts ? » Dick Cavett, expliquant pourquoi Robert Fischer n’arrivait pas à se marier.
N’avez-vous jamais remarqué comment le joueur d’Échecs retient longuement dans sa main la figurine qu’il a retirée de l’échiquier…
L’utilisation de notre jeu en publicité n’est pas récente. Elle s’appuie sur sa forte symbolique et son association avec la stratégie, l’intelligence, et le pouvoir.
… c’est toujours le bon moment…
Les affaires humaines sont comme une partie d’échecs : seulement ceux qui ne les prennent pas au sérieux peuvent être appelés bons joueurs.
Les échecs peuvent-ils jouer un rôle dans la gestion des émotions ? Chaque partie implique des moments de tension, de frustration, de doute, voire de déception. Cependant, les joueurs apprennent rapidement que la colère ou l’agressivité ne servent pas leurs intérêts.
Le jeu d’échecs, avec ses mouvements méthodiques et tranquilles, est souvent perçu comme l’archétype même du jeu paisible. Deux joueurs s’affrontent en silence, concentrés sur leurs stratégies, leurs yeux scrutant chaque pièce, chaque possibilité, comme si leur propre destin était en jeu.
C’était comme quand vous vous déplacez aux échecs et que vous retirez votre doigt de la pièce… et il y a cette panique parce que vous ne savez pas encore l’ampleur du désastre que vous avez déclenché.
Une connivence relie le jeu des Lettres et le jeu d’Échecs, se représentant et s’interprétant l’un l’autre dans une complicité féconde.
Trois pièces d’échecs en bois du XIVe siècle, Novgorod : une tour et deux rois. La découverte de ces pièces montre la popularité du jeu dans l’ancienne république de la ville russe de Novgorod, bien que l’église l’ait déjà interdit au XIIIe siècle.
Le jeu d’échecs, aux multiples facettes, offre une riche palette d’images que les publicitaires ont su exploiter. Métaphore universelle, que ce soit pour illustrer la stratégie, l’intelligence, l’élégance et… pourquoi pas le caoutchouc !
Dans les idées exprimées aux échecs, et leur développement, nous avons une représentation de la lutte intellectuelle de l’humanité. Richard Réti
Les échecs, malgré ce qu’il semble, n’ont rien d’un jeu. C’est, au contraire, un enchevêtrement aléatoire de logique et de magie, de tension perceptive, d’étonnement. Ceux qui les pratiquent, savent qu’ils exercent un aspect, peut-être le plus compliqué, de la philosophie de la lutte.
Les ordinateurs peuvent battre les hommes aux échecs. Je m’inquiéterai quand ils pourront nous battre au judo. Coluche
Le fou trouve son origine dans le « gajah » ou éléphant du jeu indien chaturanga. En passant par la Perse, il a évolué en Europe pour devenir le « bishop » en anglais, symbolisant un évêque, tandis qu’en français, plus badin, il devient le bouffon du roi.