Le quiz
Qui inventa la notation algébrique : Philippe Stamma, Philidor ou Howard Staunton ?
Qui inventa la notation algébrique : Philippe Stamma, Philidor ou Howard Staunton ?
Le jeu d’échecs, avec ses mouvements méthodiques et tranquilles, est souvent perçu comme l’archétype même du jeu paisible. Deux joueurs s’affrontent en silence, concentrés sur leurs stratégies, leurs yeux scrutant chaque pièce, chaque possibilité, comme si leur propre destin était en jeu.
C’était comme quand vous vous déplacez aux échecs et que vous retirez votre doigt de la pièce… et il y a cette panique parce que vous ne savez pas encore l’ampleur du désastre que vous avez déclenché.
Quel est le premier champion du monde des Échecs : Philidor, Paul Morphy ou Wilhelm Steinitz ?
Achille et Ajax jouant pendant la guerre de Troie. Les Grecs de l’Antiquité jouaient-ils aux échecs ?
Une connivence relie le jeu des Lettres et le jeu d’Échecs, se représentant et s’interprétant l’un l’autre dans une complicité féconde.
Après la pièce en l’air, restons aérien. Que signifie l’expression « avoir un Roi dans les courants d’air » ?
Trois pièces d’échecs en bois du XIVe siècle, Novgorod : une tour et deux rois. La découverte de ces pièces montre la popularité du jeu dans l’ancienne république de la ville russe de Novgorod, bien que l’église l’ait déjà interdit au XIIIe siècle.
Qu’est une pièce en l’air ? une pièce en prise ? une pièce non protégée ? une pièce renversée sur l’échiquier ?
Le jeu d’échecs, aux multiples facettes, offre une riche palette d’images que les publicitaires ont su exploiter. Métaphore universelle, que ce soit pour illustrer la stratégie, l’intelligence, l’élégance et… pourquoi pas le caoutchouc !
Testez votre savoir sur l’histoire de notre jeu. Quelle est la déesse des Échecs : Caïssa, Palamède ou Sissa ?
Votre savoir s’arrête-t-il aux limites de l’échiquier, la tête pleine de variantes, de stratégie et de tactique ? Testez vos connaissances de l’histoire de ce jeu magnifique, métaphore aux mille facettes de notre propre vie.
Dans les idées exprimées aux échecs, et leur développement, nous avons une représentation de la lutte intellectuelle de l’humanité. Richard Réti
Les échecs, malgré ce qu’il semble, n’ont rien d’un jeu. C’est, au contraire, un enchevêtrement aléatoire de logique et de magie, de tension perceptive, d’étonnement. Ceux qui les pratiquent, savent qu’ils exercent un aspect, peut-être le plus compliqué, de la philosophie de la lutte.
Les ordinateurs peuvent battre les hommes aux échecs. Je m’inquiéterai quand ils pourront nous battre au judo. Coluche
Le fou trouve son origine dans le « gajah » ou éléphant du jeu indien chaturanga. En passant par la Perse, il a évolué en Europe pour devenir le « bishop » en anglais, symbolisant un évêque, tandis qu’en français, plus badin, il devient le bouffon du roi.
Échec et mat à l’ennui : une aventure ludique et éducative.
L’étude du cerveau des Grands Maîtres révèle des aspects fascinants sur la façon dont il peut s’adapter à des tâches complexes. Un domaine inattendu de recherche concerne l’aire fusiforme des visages liée à la reconnaissance des visages.
Charles Aznavour posant, en 1960, devant un échiquier pour la pochette d’un 45 tours. Jouait-il aux échecs ?
Le fīl (fyala, afyāl), ou l’Éléphant du jeu indien, notre fou moderne, se déplaçait selon les diagonales, faisant un bond de deux cases à partir de sa case d’origine, que la case intermédiaire soit occupée ou vide.