« Le moment que je préfère le plus dans une rencontre, c’est celui où je sens que la personnalité de l’adversaire se brise. »
Qui s’exprime ainsi : Robert Fischer, Anatoly Karpov ou Garry Kasparov ?
Cette grande agressivité, Bobby Fischer la partage avec sans doute bien d’autres joueurs. « Les Échecs ne sont pas pour les âmes timides » disait Steinitz et une combativité positive est nécessaire. Mais cette agressivité, Bobby l’exerce avec une coloration sadique et quelque peu perverse, créant ainsi une relation malsaine avec ses adversaires. Il doit non seulement les vaincre, mais les détruire, les humilier ; « il faut détruire l’ego de l’autre… j’aime les voir se tortiller », avouait-il.
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