Esprits supérieurs ou imbéciles ?
Certaines personnes frappées de ce que le hasard n’a point de part à ce jeu, et de ce que l’habileté seule y est victorieuse, ont regardé les bons joueurs d’Échecs comme doués d’une capacité supérieure…
Certaines personnes frappées de ce que le hasard n’a point de part à ce jeu, et de ce que l’habileté seule y est victorieuse, ont regardé les bons joueurs d’Échecs comme doués d’une capacité supérieure…
En 1897, Herbert George Wells publie un essai intitulé Certaines questions personnelles (Certain Personal Matters), où dans un des articles, il livre sa vision peu aimable des Échecs. En fait, comme beaucoup de joueurs, il entretenait avec ce jeu une relation ambivalente, de haine et de passion mêlées.
Une connivence relie le jeu des Lettres et le jeu d’Échecs, se représentant et s’interprétant l’un l’autre dans une complicité féconde.
Andreas Paul Weber (1893-1980) – Don Quichotte et Sancho Panza Le jeu d’échecs, tissé dans l’étoffe du temps, se révèle comme une métaphore poétique de la vie, une danse éternelle où chaque pièce peut incarner l’image de notre destin. – Eh bien, reprit don Quichotte, la même chose arrive dans la comédie...