Les Échecs, morts ou vifs ?

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La mort jouant aux échecs – Albertus Pictor¹

« Nous devons nous assurer que les échecs ne deviennent pas comme une langue morte, très intéressante, mais pour un groupe très restreint. »

Sytze Faner, homme politique néerlandais

Voilà bien l’objectif de L’Échiquier bisontin : rendre accessible au plus grand nombre cette discipline encore trop confidentielle. La pratique de notre jeu a souffert de cette image élitiste et intimidante du roi des jeux et du jeu des rois. Sa complexité apparente a trop souvent été perçue comme intellectuellement exigeante. Complexes, certes, mais accessibles à tous, quel que soit notre niveau d’aptitude, car leurs principes sont simples et logiques, à la portée de tous. Et ils développent l’imagination, la concentration, la maîtrise de soi et la prise en compte de l’autre.

Jeu profondément inclusif, langage universel, il surmonte les barrières linguistiques, sociales, culturelles et géographiques. Il est une passerelle, une plate-forme commune où nous pouvons nous rencontrer, communiquer et vivre notre passion pour ce jeu et le plaisir d’être ensemble. Son aspect trop sérieux peut parfois effacer cet aspect convivial. Mais nous souhaitons le préserver grâce à l’une des qualités essentielles de ce jeu : rapprocher des personnes de tout âge, de tout sexe, de tout horizon culturel et social.

N’hésitez pas à nous rendre visite !

¹ La mort jouant aux échecs, en suédois Döden spelar schack, est une peinture monumentale de l’église de Täby située juste à l’extérieur de Stockholm. Peint vers 1480-1490 par le peintre médiéval suédois Albertus Pictor.

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